The Day Will Come When You Won't Be nom : alenko, du à son mariage. en plein divorce elle voulait reprendre son nom de jeune fille. altman. elle a pas eu le temps. prénom : octavia, aussi doux qu'un son de cloche. mais aujourd'hui, on l'appelle avi ou o. âge : vingt-sept, peut être 28. elle sait plus vraiment car elle a arrêter de compter les jours. date et lieu de naissance : 2 novembre, à fernley. nationalité : américaine. pas plus compliquer que ça. c'est ces origines qui posent problèmes. origines : la demoiselle est espagnole de par son père, d'ailleurs quand elle s'énerve elle vous sortira surement des phrases en espagnole, désolé hein. Sa mère, ele était anglais. ouais était, elle est morte il y a quelques années déjà. Une anglaise établie en amérique, quoi de plus original. situation civile : divorcée. mariée à un homme pendant trois ans, avant qu'il mette enceinte sa secrétaire. charmant.   ancien métier : adjoint du shérif. et oui, après 2 ans dans les rangs de l'armée, la jeune femme revient à sa ville natale et devient assez rapidement l'adjoint du shérif. ancien lieu d'habitation : Fernley. campement actuel : camp de fernley, elle y est depuis sa création. groupe : The Next World crédits : Priyanka Chopra   just survive somehow • (001), Avi est une femme de pouvoir. Elle sait ce quel veut, elle sait le faire comprendre. C'est une femme néanmoins respectueuse. (002),  Elle sait conduire une moto et se débrouille pas trop mal avec les armes, une vraie dure à cuire derrière son teint chocolat et ses long cheveux. (003), Octavia à été mariée 3 ans. Un homme qu'elle a rencontrée durant ses années de lycées. Il était plus âgé qu'elle. Il n'a pas eu de mal à comprendre le besoin d'O. à partir faire l'armée après la mort de sa mère. À son retour, il la demanda en mariage. Steven commençait même à parler de bébé, Octavia n'en voulait pas, pour se consacrer à sa carrière dans la police. Finalement, il aura son bébé, avec sa secrétaire. La jeune femme demanda immédiatement le divorce. (004), Au début de l'épidémie, elle restait avec le shériff de la ville. Quand ils n'ont plus pu contrôler la maladie, ils se sont fortifier un lieu sur dans le centre commercial de Fernley, avant que d'autres survivants ne viennent. Ils ont alors montée ce nouveau camp au côtés des anciens de Fallon. Ils ne prennent pas vraiment part à la guerre entre les deux camps.  (005), Au côté de Jensen Warren et Ellie Chesterton, la jeune femme est devenue une âme importante du camp, elle est discrètement mais fait partis du conseils de Fernley (006), Octavia c'est aussi la main rassurante qui se tend qu'en on pense avoir tout perdu. Elle connait quasiment tout le monde au camp, elle est parfois la grande soeur, parfois l'épaule sur laquelle on pleure. (007), Tempérament de feu dans un corps de déesse, c'est la dernière à se laisser prendre au jeu, et gare à ceux qui voudrait lui faire perdre son temps. Elle en à plus rien à faire du regard des autres, des murmures sur son passage.(008),Après toutes les épreuves que la vie lui à foutu sur le chemin, elle à décidé de plus se faire emmerder par quoi que se soit. Petite chose qui, pourrait tuer un homme à mains nues (009), Trois choses lui manque de son ancienne vie. La musique, grande adepte des groupes de rock elle chantonne assez souvent, au dégout des autres survivants car elle ne chante pas vraiment bien. Son fer à frisée. Car oui, elle a beau être une madame casse cou, ces cheveux s'était son vrai bonheur. Et son chien. Malheureusement, elle ne la jamais retrouver. Qui sait, un jour peut être il reviendra. Elle ne peut pas lui en vouloir de fuir cette merde. (010), On dit qu'elle est sociable et souriante. Toujours à l'écoute pour ceux qui ont en besoins. Mademoiselle est déterminée, si vous sortez à l’extérieur avec elle, vous verrez qu'elle est très rapidement autoritaire. Mais, si on la regarde de loin, elle est de nature calme. Quoi qu'un peu agressive. Son camp, désormais c'est sa famille. Elle est très protectrice et loyale envers eux.

âge : vingt ans. fuseau horaire : français/suisse. fréquence de connexion : cela dépend. Mais je pense une connexion quotidienne minimum la semaine. peu le week end. où avez vous connu le forum : bazzart, la bible du rpgiste. avis & suggestions : j'aime j'aime j'aime   votre mot de la fin : Maggie, I'll find you and suck my nuts  

La mort, c'est comme une compétition où chacun espère arriver le dernier. La vie est bouleversante, la vie est tragique, mais la mort, l'est encore plus, surtout quand elle nous suit, à chacun de nos pas, à chacune de nos respirations. On croit pouvoir dompter la mort, pouvoir la vaincre, vivre avec les fantômes de ceux qu'on connaissait et qu'on aimait planant au-dessus de notre tête. On croit toujours être fort, être plus puissant, mais la mort est inévitable, et on ne s'en rend compte que quand c'est trop tard. La fin du monde nous a appris à ne plus la craindre, à ne plus avoir d'amertume, de regrets. Les morts sont tout autour de nous, on les appelle des marcheurs, des voraces, des corps errants, des presque vivants ou presque morts, des zombies. Peu importe le nom qu'on leur donne, ce sont nos ennemis, même si ils ont un jour été nos amis. Ils n'ont plus de cœur, plus de sentiments, ils ne vivent que pour se nourrir d'autres vies. Nous finirons tous comme eux, nous sommes tous infectés par ce syndrome, ce virus, cette maladie. Si seulement c'était le pire. Non, le pire, ce sont les autres hommes. Chacun se bat pour sa survie, quitte à tuer d'autres hommes. C'est la fin du monde, désormais, il n'y a plus de lois, plus de but que celui de rester en vie.

Tu tamponnes doucement la plaie. « Ne bougez pas, » murmures-tu à l'intention de Francis. Celui-ci demeure silencieux, ne bougeant pas d'un pouce. Son éternel calme te surprend. Tu es incapable d'en faire autant. Le silence est quelque chose qui te terrorise, depuis le début de l'épidémie. Il n'est synonyme que de mort. Cloîtrée dans cet appartement depuis presque le début, tu espères en réchapper. Tant que tu le pourras. « Je penses que ça devrais aller. » ajoutes-tu, meublant ce silence qui t'est insupportable. Tu entends sa respiration. Francis demeure un mystère pour toi. « Cela vous arrive, de parler ? » demandes-tu finalement. Tu peux percevoir comme un changement dans son regard. Il te paraît moins renfermé. Alors, tu observes sur son visage ce qui ressemble à l'esquisse d'un sourire. Quelque chose de très faible, mais qui te confirme le fait que cet homme ne soit pas dénué de sentiments. Quelque chose a changé dans son regard. Au fond, tu le sais, même s'il ne l'a pas encore dit : c'est ensemble que vous partirez.

Courir. Ne pas se retourner, ne pas chercher à comprendre. Échapper aux rôdeurs, tant que tu le pourras. Tu serres ton poignard entre tes mains, prête à te défendre comme une lionne, jusqu'au bout. La seule chose dont tu es sûre, c'est de ta volonté de vivre. De voir le prochain lever de soleil, de continuer à vivre. Tu veux vivre, toi aussi. C'est en ces choses que tu trouves la force de courir, malgré la douleur envahissant tes membres, malgré ta respiration saccadée.  Toi, qui te retrouve cernée par les rôdeurs. Toi, qui, malgré ta faiblesse, lutte. Tu plantes ta lame au sommet de son crâne, atteignant le cerveau. Tu as l'impression que la scène se déroule au ralenti. Mais, malgré ton ardeur, tu es prise au piège. Ils sont trop nombreux. Les coups s'enchaînent, tu refuses de te laisser aller, de baisser les bras. Tu te battras jusqu'au bout, même si tes chances de t'en sortir vivante sont quasi nulles. Tu peux sentir leurs sales pattes sur toi, leur carcasses râler. Soudain, tes oreilles sifflent. Tu vois l'un d'eux s'affaler à terre. Tu halètes. Tu relèves la tête, pour voir non pas une, ni deux, mais trois personnes face à toi. Trois personnes lourdement armées, qui tirent sur ces rôdeurs, un homme avançant vers toi. Toi, presque à genoux, luttant pour ne pas t'écrouler complètement. Tu les reconnais, c'est ton équipe, ta famille. « Trois jours que tu as disparue. » te dit-on, alors qu'une main se tend vers toi, t'aidant à te relever. Ta gorge est sèche, tu n'arrives pas à dire quoi que ce soit. Tu bredouilles, tu n'arrives pas à faire sortir quoi que ce soit de cohérent de tes lèvres. C'est vrai, tu étais sortie. Mais tu est tombée dans des escaliers et ta cheville te faisais souffrir le martyre.

Te voilà validé et en prime t'as des gifs rigolos, que demander de plus ? Si tu en veux plus des gifs va ici, c'est drôle (attention aux spoilers par contre). Bref sinon à part ça quoi faire quand on est validés ? Tout est très simple mon petit   Tout d'abord, je te conseille d'aller voir dans le bottin des avatars, si on ne t'as pas oublié, parce que malheureusement, ça arrive des fois. Ensuite, tu peux aller te créer une fiche de liens, parce que se trouver des liens, c'est cool. Si ton personnage fait partie d'un camp tu peux aller recenser ton rôle, mais aussi ton habitation. Tu vas pouvoir également te renseigner sur le système de points et rejoindre, si tu veux, une des missions disponibles. Il t'es également possible de créer un scénario ou des pré-liens. Sur cette avalanche de liens assez chiants, on te propose d'aller jeter un coup d’œil dans le flood pour t'amuser avec les autres membres du forum.  Pour finir, n'hésite pas à promouvoir le forum, ça peut aider et c'est fort sympathique  

Voilà   maintenant tu es validé, tu peux tracer ta route parmi nous   on espère vraiment que tu te plairas sur le forum et si tu as la moindre question, n'hésite pas à nous envoyer un petit message