The Day Will Come When You Won't Be nom : mckenzie, un nom des plus banal que t'a légué ton paternel. prénom : adam. c'est ta mère qui l'a choisi, persuadée que porter le même prénom qu'un grand philosophe irlandais te porterais chance plus tard. âge : trente et un an, même si tu n'accordes plus vraiment une grande importance au reste des années qu'il te reste à vivre. date et lieu de naissance : c'est dans un hôpital de Carson City que tu fis ta première apparition dans ce bas monde, dans la nuit du cinq juillet. nationalité : américaine. origines : tu restes un américain de souche, même si au fond cela t'importe peu. situation civile : le cœur réduit en miettes, ne pouvant s'efforcer d'oublier. ancien métier : mécanicien. une passion qui ne s'avère malheureusement plus d'une très grande utilité à présent. ancien lieu d'habitation : carson city, nevada. campement actuel : aucun. tu vagabondes avec un petit groupe de personnes depuis un bon moment maintenant. groupe : we all fall down. crédits : fireside (avatar), dailydavefranco (gifs)   just survive somehow • (001), Adam a appris à tuer ces monstres malgré lui parce qu’il a bien compris qu’il n’avait pas le choix. Mais tuer quelqu’un, il en est tout simplement incapable. (002), Il lui arrive d’être très colérique et de piquer des crises pour un oui ou pour un non. Il se ne contrôle plus vraiment, c’est surtout la douleur qui parle. (003), La dernière fois qu’il a vu sa sœur, c’était trois semaines avant que tout parte en vrille. Ça fait déjà un long moment qu’il se persuade qu’espérer ne sert plus à rien. (004), Il joue de la batterie depuis son plus jeune âge. En plus des voitures, c’était sa principale occupation avant que l’apocalypse ne pointe le bout de son nez. (005), Il est muni d’un colt 45, qui ne lui appartenait pas au départ. Sam lui a appris à manier les armes à feu, et surtout à tirer correctement. Il est assez habile en ce qui concerne ce domaine désormais, ce qui s’avère plus qu'utile par les temps qui court. (006), Il trouve complètement stupide l’idée qu’un camp puisse se former en quête de créer une communauté. Il n’a qu’une hâte, c’est de voir tout ceci s’effondrer et assister à ce spectacle dont la fin n’est que prévisible. (007), Tout l’espoir qu’il semblait détenir en lui s’est évaporer à la seconde où elle est partie. La seule chose qui le maintien encore debout c’est sa rage de vivre. (008), Il a une énorme cicatrice tout le long du dos, suite à une lourde chirurgie qu'il a du subir il y a cinq ans. La douleur refait surface par moment, il tente de la contenir enfouie du mieux qu'il peut. (009), Il adore le Canada. Il rêvait d'y retourner et de s'y installer. Un rêve désormais complètement mort. (010), Les optimistes ont tendance à l'énerver au plus haut point. Ils lui rappellent Sam, elle et ses principes auxquels il n'a jamais vraiment cru.

âge : bientôt dix neuf. fuseau horaire : est-ce que c'est vraiment important de le mentionner lorsqu'on dort tout le temps ?    fréquence de connexion : tous les jours, rp le week-end. où avez vous connu le forum : bazzou' avis & suggestions : il est tout beau. votre mot de la fin :  

Tu n’avais aucune idée d’où vous veniez, ni où vous alliez. Tu n’avais absolument aucune information en ce qui concerne cette épidémie qui venait de foudroyer la plupart du pays. T’étais paumé, complètement désemparé face à la situation. C’est sans attendre que tu t’étais emparé d’un sac à dos, de quoi tenir quelques jours, sans réfléchir à ce qui t’attendait dehors. Tu l’avais emmené avec toi. Elle était là, comme elle l’a toujours été. Tu te souviens comme si c’était hier de cette fameuse après-midi. Un mauvais pressentiment s’était alors emparé de toi lorsque vous traversiez cette ville méconnaissable, comme si le monde venait de s’écrouler. Vous étiez seuls, et plus les jours défilaient, plus tu espérais te trouver dans un de ces mauvais rêves que tu avais tant l’habitude de faire. Mais les jours passaient, et c’est seulement qu’au troisième jour que tu réalisas que tout cela était bien réel. Que cette chose sans nom avait bien failli vous tuer, et que sans l’intervention de Sam t’y serais sûrement passé. Une balle dans la jambe, puis dans la tête. C’est comme ça qu’elle s’y était pris la première fois, accompagné de ce regard que tu connaissais trop bien. Un regard sans émotion, rempli de détermination. Elle n’était pas comme toi, loin de là. En fait, c’était sans aucun doute vos différences qui vous avaient rapprochés au tout départ. Tu n’étais tout simplement pas fait pour ça. Tu n’étais pas préparé, et si on y réfléchit bien personne ne l’était. Sauf les gens comme Sam. Les personnes qui n’ont peur de rien, même pas de la mort. Les personnes qui défient le danger au quotidien, même si cela signifie mettre leurs vies en péril. Non. Ce n’était pas fait pour toi, et c’est bien pour ça que tu as eu du mal à encaisser toute cette histoire en si peu de temps. Et pourtant, une force en toi dont tu n’avais jusqu’ici jamais détecté la présence s’est révélée être plus utile que tu ne l’aurais cru. Tu as su continuer à avancer dans les moments difficiles, quoi qu’il advienne. Tu as su prendre sur toi-même quand la situation te semblait bien trop périlleuse. Et tout ça, tu l’as fait pour elle. Pour continuer votre route ensemble. Pour continuer à vivre, ensemble. Parce qu’il était hors de question que tu fasses tout ce chemin sans elle, c’était tout simplement inimaginable. Une semaine. Puis deux. Puis quatre. Puis dix. Vous vous êtes soutenus. Jusqu’au bout. Jusqu’à la fin. Jusqu’à ce que tout s’écroule, là où tu t’y attendais le moins. Jusqu’au jour où un moment d’inattention lui fit fatale. Jusqu’à la minute où elle s’effondra sous tes yeux, avec ce même regard. Un regard qui semblait vouloir tout dire, et pourtant. T’aurais aimé en savoir plus. T’aurais aimé un tas de choses, mais la vie en a décidé autrement. T’aurais dû être à sa place. Ça aurait dû être toi. Et pourtant, aujourd’hui t’es encore là. L’image de son sourire résonnant comme un poignard qu’on semble t’enfoncer en plein cœur à chaque fois que celle-ci surgit de ton esprit. L’oubli n'est pas une option. La vengeance non plus. Tout ce que tu peux faire désormais, c’est attendre patiemment que ton tour vienne. Et même ça, tu n’en es pas capable.


Tu respires une grande bouffée d’air frais pendant que tu le peux encore, reprenant le cours de ton chemin après être resté plus d’une semaine près d’elle. Tu as fait ce que tu avais à faire, aussi douloureux que cela puisse paraître. C’est ce qu’elle aurait voulu, et c’était la moindre des choses après tout ce qu’elle avait fait pour toi. Toi et ta gueule d’ange, encore incapable d’utiliser une arme il y a à peine un mois. Dans un sens, t’as toujours refusé de toucher à ses choses-là, bien trop con pour comprendre qu’elle était désormais indispensable à ta survie. Sam l’avait compris, bien avant toi. Et c’est d’ailleurs une chance, parce que maintenant tout est différent à tes yeux. Le monde est mort, il l’a toujours été. Depuis ce fameux jour où t’ont mis les voiles. Il a continué de l’être pendant que tu tentais de survivre en te persuadant que tout ceci serait bientôt terminé. Bullshit. Tu donnes un coup de pied dans un vieux jouet d’enfant traînant au sol, aussi bousillé que toi par le temps et les événements. Tu ne peux t’empêcher de te contenir et lâche un cri. Tu cries de rage, ne savant même plus comment réagir face à ces choses qui te barrent le chemin en quelques minutes. Tu t’empares de son flingue. Son précieux flingue. Celui qu’elle n’a jamais quitté, celui qui lui faisait se sentir en sécurité bien plus que ta présence. Un par un, tu te débarrasses de ces monstres comme si ta vie en dépendait. Tu continues de tirer dans le tas, jusqu’à que tu n’es plus de quoi te défouler. Tu restes de marbre pendant un long moment, puis reprends ta route comme si de rien étais. Parce que c’est la seule chose à faire. Parce que désormais, tu es livré à toi-même. Parce que tu n’as plus cette épaule sur laquelle tu pouvais te reposer. Parce que plus rien n’a d’importance, si ce n’est ta survie.


Vingt-et-un jours. Ça fait vingt-et-un jours que t’avances sans même savoir où allez. Vingt-et-un jours que tu te questionnes et te demandes si tu finiras par tomber sur quelqu’un. Tu es fatigué. La faim te tiraille l’estomac. Tu n’es plus l’ombre que toi-même, et cela n’est plus qu’une question de temps avant que cette grande aventure soit terminée. T’a sûrement voulu te prouver quelque chose en pensant que tu pouvais y arriver sans elle, mais clairement ce n’est pas le cas. Tu n’en est pas capable, du moins pas tout seul. Alors t’attends sagement qu’on t’achève, ne pouvant continuer à avancer si c’est pour s’enfoncer davantage dans un monde où ce sont les morts qui ont le dessus. Tu n’as jamais voulu tout ça. Tout ce que tu demandais, c’était vivre ta vie tranquillement sans rien demander à personne. Et maintenant t’es en colère contre le monde entier. T’aimerais juste que ça s’arrête. Tu décides de te reposer, histoire de reprendre des forces et trouver de quoi te nourrir par la suite. Le silence que procure désormais chaque endroit où tu sembles te trouver te fais presque regretter les conversations interminables qu’elle avait l’habitude d’alimenter en ta présence. Elle te parlait de tout et de rien, faisant comme si tout ceci était dans l’ordre des choses. Mais ça ne l’était pas. Tu reprends doucement ton souffle, gardant un œil sur l’environnement qui t’entoures. Tu ne souhaitais pas que l’un d’eux te prenne par surprise, même si tu ne pouvais t’empêcher de l’envisager par moment. Tu te demandes encore aujourd’hui si ce fut la fatigue où tout simplement ton ignorance, mais tu n’oublieras jamais ce sentiment après avoir senti cette main se poser doucement sur ton visage. De l’avoir vu apparaître, et d’avoir immédiatement compris que tout allait changer. Sur le moment, tu t’es dit que la vie en avait tout simplement finis avec toi. Mais Gabriel t’a prouvé le contraire. Il t’a prouvé qu’il te restait encore une place dans ce monde pourri jusqu’à la moelle. Et puis, ce n’est pas comme si t’avais encore quelque chose à perdre.

petit mot de moa à toa : awww, le petit adam tout chou qui vient remplir les rangs des silencieux (j'vais faire attention à moi maintenant vous ne passerez paaaas   ). Je me suis régalé avec ta fiche, avec ce perso super bien construit et des anecdotes concises et intéressantes. Me gusta, hombre    Hâte de te voir à l'action en rp, je pense que ça va promettre.

Te voilà validé et en prime t'as des gifs rigolos, que demander de plus ? Si tu en veux plus des gifs va ici, c'est drôle (attention aux spoilers par contre). Bref sinon à part ça quoi faire quand on est validés ? Tout est très simple mon petit   Tout d'abord, je te conseille d'aller voir dans le bottin des avatars, si on ne t'as pas oublié, parce que malheureusement, ça arrive des fois. Ensuite, tu peux aller te créer une fiche de liens, parce que se trouver des liens, c'est cool. Si ton personnage fait partie d'un camp tu peux aller recenser ton rôle, mais aussi ton habitation. Tu vas pouvoir également te renseigner sur le système de points et rejoindre, si tu veux, une des missions disponibles. Il t'es également possible de créer un scénario ou des pré-liens. Sur cette avalanche de liens assez chiants, on te propose d'aller jeter un coup d’œil dans le flood pour t'amuser avec les autres membres du forum.  Pour finir, n'hésite pas à promouvoir le forum, ça peut aider et c'est fort sympathique  

Voilà   maintenant tu es validé, tu peux tracer ta route parmi nous   on espère vraiment que tu te plairas sur le forum et si tu as la moindre question, n'hésite pas à nous envoyer un petit message