The Day Will Come When You Won't Be nom : kerrigan, nom de famille aux origines irlandaises dont elle a hérité d’aïeux migrants et installés dans la société depuis des décénies. prénom : shelby, ce prénom lui a été donné par son paternel. Fan éternel de voitures, de belles carrosseries et plus précisément de Mustangs. Le modèle phare de la gamme étant la shelby gt 500... Voilà d'où lui vient son prénom. Mais elle l'a toujours bien aimé malgré qu'il lui vienne d'une voiture. âge : Trente quatre ans et toutes ses dents. Elle se considère comme étant au top de sa forme, elle n'aurait pu être plus endurante et résistante dans la vingtaine. Elle est fière d'elle aujourd'hui et de l'image qu'elle renvoie. date et lieu de naissance : Née un douze janvier à New-York. C'est une vraie citadine pour le coup. Et une yankee en plus... Mais de par ses voyages et son métier, elle a appris les manières et ne se comporte pas aussi "mal" que les new-yorkais de base. nationalité : Américaine, le droit de revendiquer la nationalité irlandaise ne lui est plus accessible depuis des générations déjà. Mais pour son métier elle a déjà endossée différentes nationalités, elle a d'ailleurs toujours certains de ses anciens passeports. origines : Il y a du sang irlandais qui court dans ses veines. Et il se caractérise par une impulsivité caractéristique, un engouement peu commun et une résistance au whisky peu commune. situation civile : Séparée par la mort de son compagnon il y a déjà un moment. Il a été tué par une horde au début de l'épidémie. Le voir se faire déchiqueter en morceaux n'est pas le plus beau souvenir qu'elle garde de lui.  ancien métier : Agent spécial du FBI. Un agent d'élite qui conserve tous ses automatismes aujourd'hui. Voilà comment elle a pu survivre jusqu'ici. ancien lieu d'habitation : un petit appartement sur la périphérie de New-York était son lieux fixe. Mais elle a tellement bougé pour ses missions qu'elle n'a jamais habité au même endroit plus longtemps que quelques mois. campement actuel : Fernley depuis quelques semaines. Elle y est arrivée un peu par hasard mais s'y trouve plutôt bien. groupe : The next world. crédits : Ego/moi.   just survive somehow • (001), a toujours vécu sur le pouce avec un père qui était muté assez souvent elle n'a jamais pu apprécier une enfance calme, posée, et stable. (002), elle n'a pas eu beaucoup d'amies, s'est créé une personnalité assez individualiste et pour renforcer le tout elle est fille unique. (003), ce sont tous ces déplacements qui lui ont donné le goût pour le voyage et un profond dégoût de la banalité et de la monotonie. (004), elle s'est rapidement destinée à un métier d'"homme" en s'engageant dans l'armée à sa majorité, elle a fait deux tournées en Afghanistan puis a été repérée par le FBI pour ses facultés d'observation, sa réactivité et son jugement. (005), elle préfère partir seule en mission plutôt que de risquer de se coltiner un boulet. (006), elle a toujours refusé les promotions dans les strates supérieurs du système, préférant rester sur le terrain. (007), elle a fumé pendant des années surtout dans l'armée, mais a arrêté lorsqu'elle a intégré les rang du gouvernement. (008), bisexuelle, elle ne s'en est jamais cachée et ne fait pourtant pas partie de ces catins qu en profitent pour manger à tous les râteliers. (009), aujourd'hui intégrer dans le groupe des survivants de Fernley, elle qui ne pensait plus pouvoir s'attacher à personne, elle a posé son dévolu sur une jeune femme qu'elle va protéger coûte que coûte. (010), elle prend un soin extrême de son arme, sachant que c'est son amie la plus fidèle et celle sur qui sa vie repose depuis des mois à présent.

(ne répondez qu'à une seule des deux questions, celle qui concerne votre personnage, effacez l'autre et ces quelques explications une fois celles-ci lues).








âge : 29 ans. fuseau horaire : GMT+1. fréquence de connexion : à peu près tous les jours. où avez vous connu le forum : via la pub sur Bazzart. avis & suggestions : écrire ici. votre mot de la fin : écrire ici.

Tout commence pour moi le jour de mon retour de mission. Ouais je vais pas vous faire une histoire conventionnelle avec la naissance, l’enfance, l’adolescence boutonneuse etc… Autant parler tout de suite de ce qui vous intéresse vraiment, comment est-ce que j’ai vécu la transition.
Je rentrais de Mossoul, en Iraq, où on m’avait envoyé récupérer un document important des mains directes de notre contact sur place. Alors que la guerre là-bas fait rage, j’ai pas forcément vu la différence si à cette époque l’épidémie était déjà lancée. Ça pétait de partout ! Mais lorsque je suis rentrée au pays, c’est là que tout a dérapé. On nous annoncé dans l’avion que des incidents avaient éclaté un peu partout dans le pays, que des incidents notables étaient à prendre en considération et qu’ils nous conseillaient de rester dans l’enceinte de l’aéroport pour notre sécurité. Mais vous pensez que j’ai obtempéré ?
Je me suis donc rendu directement à Langley et c’est là qu’on m’a averti que toutes les missions étaient avortées. Pourquoi ? Priorité nationale, la sécurité du pays tout entier est en jeu. C’est la troisième guerre mondiale ? Même pas… Donc après m’être fait chier à plusieurs milliers de kilomètres et qu’à mon retour m’attendre dire que finalement on s’en fout, j’ai décidé de tout envoyer chier et de filer chez mes parents pour m’assurer de leur état. Les raisons téléphoniques sont saturés, internet est « out », alors j’attrape un téléphonique satellite avant de filer des locaux. Je n’ai pas prit le soin de me renseigner sur ce qui créait tout ce chamboulement. J’aurais sans doute dû.
J’arrive devant l’appartement de mes parents après être sortie d’un bouchon créé par des carambolages de folies. Les gens sont devenus fous, me dis-je à ce moment là. Je ne me rendais pas compte que c’était moi la folle. Je m’extirpe du véhicule, je fonce jusqu’à l’entrée et je vois une femme qui gît au sol, vraisemblablement sans vie. Mon sang ne fait qu’un tour, je dégaine mon arme et entreprends de monter les marches deux par deux pour arriver jusqu’au 6ème étage de mes parents. Là, la porte est ouverte, défoncée même, comme toutes les autres en réalité. Je me précipite à l’intérieur en m’identifiant –déformation professionnelle- et le spectacle qui se présente devant moi me marquera pour toujours. Imaginez-vous… Votre mère, le visage enfouie dans les entrailles de votre père en train de le dévorer. Vous voyez un peu ? C’est sale hin ? Mais le plus sympa c’est lorsqu’elle se rend compte de ma présence, qu’elle se lève et qu’elle déambule vers moi en se prenant tous les meubles du couloir au passage. Complètement incrédule, hébétée, et putain de stupide, je cherche à lui parler. Ben ouais, j’essaie de la raisonner, le truc pourri qu’ont dû faire tous les blaireaux qui sont morts dans les premières heures de la dévastation. Mais alors qu’elle essaie de me mordre la main que je lui tends, mes instincts prennent le contrôle et je lui mets un coup de crosse à la tempe. Le coup est net, précis et efficace. Elle serait sans doute assommée si sa nuque n’avait pas heurté le coin du radiateur en tombant à la renverse. Et c’est en voyant le sang de feu ma mère que mon père se met à bouger. Ni une ni deux, je cours et je me jette à ses côtés. Je dois avoir la chance que ses muscles abdominaux lui fassent défaut à cet instant. Il aurait pu se relever instantanément et m’aurait croqué à son tour. Mais au lieu de ça je le vois gesticuler, les bras tendus et la gueule en vrac. Ses lèvres décharnées, son regard vide, ses grognements gutturaux m’indiquent qu’il n’est déjà plus avec moi. Je réagi vite, attrape un chandelier tombé de la table durant ce qui semble avoir été une bagarre, et je lui fracasse la boite crânienne sans plus brocher.
Une fois de retour dans la rue, je sens une larme couler de long de ma joue et terminer sa course sur la tranche de mon pouce. J’essuie la ligne qu’elle a laissée sur mon visage et remonte dans ma voiture pour partir aussi loin que possible malgré le calvaire que le reste de la vie risque d’être. Suis-je préparée pour affronter tout ça ? Pas vraiment. Suis-je prête à essayer de survivre malgré tout ? Ça oui, définitivement.

Aujourd’hui je suis une réfugiée du camp de Fernley. J’ai été gentiment accueilli dans cette communauté qui s’ouvre –trop à mon goût- aux étrangers et à l’extérieur. Je suis plutôt discrète, j’ai de porter aide et soutient à qui veut bien le recevoir et je prends mes tours de garde avec dévotion. J’essaie de faire mon petit bout de chemin sans faire trop de vague, sans qu’on me remarque non plus. Mais par contre… Là où j’ai cru que mon cœur était mort et enterré… Je le surprendrais presque à palpiter en présence de certaines personnes. Commencerais-je à m’attacher à cette communauté ? Et elle… Pourquoi elle plus que les autres… ? Fait chier…

petit mot de moa à toa : han lala, j'adore ton perso ; de base, j'aime les personnages féminins badass mais alors là, je suis servie avec toi (et je kiffe, give me more) ! du coup, j'ai hâte de voir sur qui Shelby a jeté son dévolu à Fernley - et puis, évidemment, hâte de lire tes rps qui promettent d'être bien bons

Te voilà validé et en prime t'as des gifs rigolos, que demander de plus ? Si tu en veux plus des gifs va ici, c'est drôle (attention aux spoilers par contre). Bref sinon à part ça quoi faire quand on est validés ? Tout est très simple mon petit Tout d'abord, je te conseille d'aller voir dans le bottin des avatars, si on ne t'as pas oublié, parce que malheureusement, ça arrive des fois. Ensuite, tu peux aller te créer une fiche de liens, parce que se trouver des liens, c'est cool. Si ton personnage fait partie d'un camp tu peux aller recenser ton rôle, mais aussi ton habitation. Tu vas pouvoir également te renseigner sur le système de points et rejoindre, si tu veux, une des missions disponibles. Il t'es également possible de créer un scénario ou des pré-liens. Sur cette avalanche de liens assez chiants, on te propose d'aller jeter un coup d’œil dans le flood pour t'amuser avec les autres membres du forum. Pour finir, n'hésite pas à promouvoir le forum, ça peut aider et c'est fort sympathique

Voilà maintenant tu es validé, tu peux tracer ta route parmi nous on espère vraiment que tu te plairas sur le forum et si tu as la moindre question, n'hésite pas à nous envoyer un petit message