The Day Will Come When You Won't Be nom : Abberline: Un nom lourd, difficile à porter. Un père qui en demandait toujours plus, presque trop.  Tu t'es promis de ne jamais donner autant de pression à ton enfant prénom : Colin. Nom d'un personnage fictif dont ta mère est tombée amoureuse lorsqu'elle était plus jeune. Stephen Nom de ton grand-père paternel, que tu n'as jamais connu âge : 27ans. Tant de but déjà achevés, et pourtant tout semble vaciller  date et lieu de naissance : Le 7 janvier  1989,à Fairbanks,Alaska par un froid si fort qu'il semble vous briser les os de l’intérieur. nationalité : Américain origines : Père Américain et mère Française situation civile : Marié.Tu as mis la bague au doigt de la plus belle  des femmes il y a maintenant 14 mois.  ancien métier : Basketteur professionnel, achevant le rêve de ton père, malgré toi ancien lieu d'habitation : Nouvelle-Orléans, en Louisane. Vous veniez d'y acheter une petite maison en banlieue. Le genre d'habitation où tu rêves de fonder une famille, d'y élever des enfants;campement actuel : Taryn,Elliot et toi, vous êtes arrivés à Fernley il y a maintenant 2 jours. Et depuis que tu as ouvert les yeux, tout semble flou.groupe : The next world crédits : tumblr   just survive somehow • (001), Tu es déterminé, ambitieux, persévérant. Tu n'aimes pas t'arrêter sur un échec, quel qu'il soit. Tu as appris à te battre contre les obstacles de la vie, même s'ils te semblent trop haut, trop difficile pour un simple type comme toi.  Alors tu pousses toujours un peu plus, et c'est grâce à ça que tu arrives à passer alors que d'autres restent bloqué derrière. Tu sais que la vie ne fait aps de cadeau, si tu veux quelque chose, tu dois te battre pour l'avoir. (002), Tu n'es pas très doué pour parler sentiments, pour dire ce que tu ressens. Il y a des regards qui ne trompent pas, et tu as ce lien avec Taryn, elle arrive à savoir ce que tu veux dire d'un simple coup d'oeil. Même toi tu ne sais pas comment elle fait, comment elle a pu créer cette connexion entre vous deux. Mais ça a été naturel(003), Le divorce de tes parents a été une épreuve difficile à traverser. Tu as mis longtemps à l'accepter, trop longtemps. La relation entre tes géniteurs a dégénéré à une vitesse folle, et ta mère a prit ses valises. Ils étaient déjà divorcé depuis 6 mois et elle vivait au coin de la rue. Mais c'était trop difficile pour elle. Sa boulangerie à fermé, elle n'avait plus de raison de rester à la Nouvelle-Orléans. Alors elle a prit ta petite-soeur et ensemble elles se sont envolées en Alaska. Tu ne les a jamais revu. Ton père ne voulait pas que tu restes en contact. Et ta mère empêchait Erin d’appeler. Tu n'as pas vu ta sœur depuis 15 ans. Et ça, ça te pèse tout les jours. La plupart des gens te pensent enfant unique. (004),Tu ne sais même plus si le basket est la passion de ton père ou un rêve que vous aviez en commun. Toi, tu as suivis ce qu'il te disait, parce que ça semblait plus simple comme ça. Tu avais besoin d'un guide. Il était entraîneur et tu étais son prodige. Comme un musicien à sa muse, tu étais la fierté et l'inspiration de ton père. Ensemble vous avez poussé les limites, remporté les championnats. Tu venais de signer pour une grande équipe Américaine, mais la vie en a décidé autrement.  (005), Te marier avec Taryn, c'était une évidence, un besoin pour tout les deux. Vous étiez tellement amoureux qu'il n'y avait pas d'autre possibilités. Malgré le refus de ton père vous vous êtes dit oui par un bel après-midi d'octobre. L'automne a toujours été ta saison préféré et c'est sous les feuilles couleurs or et cannelles que vous avez échangé vos vœux. (006), Tu as souvent rêvé d'un enfant. Mais entre ta carrière, les études de Taryn et le refus catégorique de ton père...tu as mis cette idée dans le fond d'un tiroir. Tu te disais que tu avais le temps d'y penser plus tard. Et puis c'est cette apocalypse qui a réalisé ce rêve inavoué. Ce n'est pas le votre non. Vous l'avez trouvé, seul, dans une maison abandonnée. Vous n'avez aucune idée de comment il a survécu, comment les rôdeurs ne l'ont pas entendu crier. Par chance, c'est vous qui étiez là quand ses pleurs ont résonné dans la pièce. Avec Taryn vous vous êtes regardé et vous avez su. Vous saviez à ce moment précis que vous ne pouviez pas le laisser ainsi, sans défense. Elliot Abberline, tu trouvais que ça sonnait bien, et elle aussi. Alors il a rejoint votre vie. (007), La première fois que tu as vu un rôdeur, vous étiez en train de profiter de votre lune de miel, avec Taryn. Vous aviez décidé de visiter votre propre pays, de vivre l'aventure et de parcourir les routes pour vous échapper du quotidien. Le but, c'était de mettre de côté vos responsabilité pour 2 semaines, de profiter de la vie, de vous deux. Vous ne pensiez pas que ça te terminerai ainsi... (008), Tu n'as aucune nouvelle de ton père et tu ne sais pas comment le contacter. Ton téléphone n'a plus de batterie et même si tu as essayé de le contacter quand tout à commencer à s'envenimé, il ne t'a jamais répondu. Tu espère qu'il est en sécurité quelque part, qu'il survit et qu'un jour tu pourras le revoir. (009),Au départ, tu voulais resté éloigné des camps. Tu n'avais pas confiance, tu savais que ça pouvais vite déraper. C'est d'ailleurs ce que tu as dis à Taryn quand elle à commencé à parler des camps. Non, tout les deux vous étiez mieux. Vous étiez plus en sécurité. Elle gardait tes arrières et tu gardais les siens. Et puis vous avez trouvé ce bébé, ce petit Elliot et vous saviez qu'il faudrait une structure plus sûre. C'était votre dernière nuit à l’extérieur, vous étiez près de Fernley quand on vous a attaqué. 3 hommes sortis de nul part. Vous vous en êtes sortis. Taryn avec une blessure à la jambe et toi avec plusieurs coups au visage, un mauvais à la tête et des souvenirs qui virevoltent sans que tu saches vraiment quoi en faire. (010), Tu ne sais plus vraiment. Tout est confus. Parfois tu as l'impression de te souvenir de quelque chose et Taryn t'affirme que non, c'est juste le fruit de ton imagination, ou une histoire que l'on t'a raconté quand tu étais plus petit. Tu ne sais plus quoi penser, qui croire et qui éviter. Ce coup t'a chamboulé, si bien que ton monde ne tourne plus vraiment rond. Tu aimerais remettre en place tes idées, retrouver ta bonne humeur et tes blagues un peu stupides. Tu voudrais qu'on parle de toi comme d'un garçon intelligent et ayant les pieds sur terre encore. Mais non, pour le moment, on te lance des regards interrogateur, ne sachant pas trop quoi penser de toi.

âge : 25 ans fuseau horaire : UK. fréquence de connexion : Bien trop souvent où avez vous connu le forum : Bazzart, toujours avis & suggestions : Vous êtes tous beau votre mot de la fin : I LOVE YOU

Tout est confus, tellement confus. Pourtant tu aimerais pouvoir retrouver les souvenirs qui te glissent entre les doigts. Tu regardes sans voir, tu écoutes sans entendre. Tu dois te concentrer, te raccrocher à ce qui te semble le plus logique, le plus réel. Mais plus rien ne semble avoir de sens dorénavant, et la logique est une science presque obscure à l'heure qu'il est. Alors tu fermes les yeux et tu te plonges dans les souvenirs les plus forts, ceux qui auront assez marqué ta mémoire pour y rester gravés à tout jamais. Erin. Oui, te te souviens d'elle.Elle passait des heures à coiffer ses longs cheveux bruns pendant que toi tu étais devant ta console de jeu. Et puis elle savait te mener à la baguette, elle n'avait qu'à te regarder avec ses grands yeux bleus pour t'embarquer dans ses idées farfelues, ses bêtises qui se terminaient toujours mal. Bien sûr, il y avait aussi son sourire innocent et de sa façon de courir contre la montre, contre le temps lui même . Elle voulait attraper un train imaginaire, voilà ce qu'elle disait du haut de ses 5ans. Toi tu trouvais ça étrange, tu te demandais à quoi cela servait de s'accrocher à des choses alors qu'elle n'était même pas réelles. Tu avais les pieds sur terre mais tu la laissais faire, parce que c'était ta petite sœur, celle que tu as du laisser partir avec ta mère il y a bien trop d'années. Vous étiez proches à l'époque, vous embrassiez la vie sans même savoir que celle-ci allait vous jouer un mauvais tour. Un tour diabolique, mortel. Parfois, tu as l'impression d'entendre sa voix. C'est faible, presque imperceptible, mais ça résonne dans une partie de ton cerveau. Et c'est là que tu te rends compte à quel point elle te manque ta petite sœur. Ce petit être que tu aimais ennuyer et qui te faisais râler. Tu perdais souvent la bataille pour la télécommande, tu devais faire attention de ne pas faire de bruit en passant devant sa chambre le soir. A l'époque ça t'enervait oui, parce que tu avais l'impression qu'il n'y en avait que pour elle. Mais maintenant... Oh, tu donnerais beaucoup pour pouvoir la prendre dans tes bras et lui dire que tout ira bien. Même si toi même, tu n'en es plus vraiment sûr.

Les images se font plus claires, comme une télévision mal réglée qui retrouve sa netteté. Tu plisses les yeux pour te concentrer. Il y a ton père. Ce jour où tu les as entendu se disputer avec ta mère. Ce jour où tu as compris qu'ils allaient se séparer. Ton petit monde s'est écroulé au même moment, parce que tu savais que le divorce pouvait ravager des familles. Et ce soir là, tu ne savais même pas combien ça ferait mal. Il y a eu ce repas autour de la table du salon, ce silence gênant, lourd. Et puis ton père vous a regardé, toi et ta sœur. Il a dit le plus naturellement du monde qu'Erin devait partir avec votre mère et que toi, tu resterais ici, avec lui. Personne n'a parlé, personne n'a réagit. Peut-être que tu aurais du, peut-être que ça aurais changé quelque chose. Mais vous avez tous baissé la tête et terminé votre repas. Votre dernier repas en famille. Ce souvenir aussi il est encré à tout jamais.

Tu te passes les mains sur le visage, ça te fatigue plus que ça ne le devrait. Tu sens le bandage sur ta tête, encore récent. Taryn est là. Evidemment, Taryn a toujours été là. Elle a été un pilier avant même que tu t'en rende compte. Pauvre crétin,tu as préféré voler de filles en filles avant de réaliser que c'était elle la bonne. Pourtant elle était toujours près de toi, à te soutenir, à t'encourager. Quand ta mère est partie, quand elle a prit ses valises et qu'elle a décidé de retourner en Alaska avec ta petite sœur. C'est bien la dernière fois que tu as vu ses grands yeux bleus baignés de larmes. Tu n'as plus eu à te battre pour la télécommande après ça. Taryn, elle a su trouver les mots, elle a su te faire sourire alors que tu étais au plus bas. Mais tu ne voulais pas voir, tu ne voulais pas t'attacher à une femme alors que tu venais de perdre celles qui t'avaient vu grandir jusqu'ici. Non, tu restais à ses côté par pur égoïsme, parce que tu savais au fond que tu ne pouvais pas faire autrement. Tu connaissais ses sentiments mais tu n'as pas voulu les accepter, parce que c'était trop dure, trop tôt. Mais le malheur rapproche. Si ton monde s'est effondré à la séparation de tes parents, celui de Taryn à volé en éclat quand sa mère est décédée. Et c'était à toi de prendre soin d'elle, tu le savais, c'était une évidence.

Tu souris à cette idée. Oui, ça aussi c'est réel. C'est au fond de ta tête mais surtout de ton cœur. Pourtant, il y a ce discours qui revient au galop, aussi destructeur que les grands projets de ton père. Il était contre cette relation. Il n'était même pas venu au mariage. Tu te souviens de ta déception en comprenant qu'il ne viendrait pas. Tout ce qui comptait à ses yeux, c'était ta carrière. Alors que lui avait vu son rêve brisé à cause d'une blessure à la jambe, il voulait que tu prennes la relève. Comme un parent qui s'attend à ce que son enfant reprenne la compagnie familiale. Est-ce que tu avais d'autres projet ? Tu n'as pas eu le temps d'y penser. Parce qu'après le départ de ta mère - et ta soeur - tout ce que tu as entendu c'est : plus vite, plus longtemps, plus haut, entraîne toi. Les heures que tu ne passais pas à l'école, elles étaient sur le terrain. Ton père avait du se contenter d'être entraîneur, mais il ne laisserait pas la même chose t'arriver. Alors un mariage ? C'était inutile, ça ne te faisait que perdre du temps, de l’énergie. Tu souffles en entendant que trop nettement les arguments de ton géniteur. Taryn t'apportait la stabilité, ton père te poussait toujours plus haut.

Mais maintenant, rien de tout ça n'a d'importance . Ta carrière, ton mariage. La priorité c'est de survivre, avancer chaque jour sans penser à ce que tu as perdu. Tu sais que ce sera difficile, tu sais que les images encore floues te brouilles la vision et la perspectives d'une vie meilleure. Pour le moment, tu ne sais plus ce qui est vital : retrouver tes souvenirs ou accepter la situation dans laquelle vous êtes ? Les nuits te semblent plus noires qu'autrefois et tu ne sais jamais si tu vas te réveiller le lendemain. Le camps de Fernley est devenu une nécessité après votre attaque, ton coup sur la tête. Tu regarde autour en espérant qu'ici, tu pourras construire quelque chose. Vivre, et non survivre.

Te voilà validé et en prime t'as des gifs rigolos, que demander de plus ? Si tu en veux plus des gifs va ici, c'est drôle (attention aux spoilers par contre). Bref sinon à part ça quoi faire quand on est validés ? Tout est très simple mon petit Tout d'abord, je te conseille d'aller voir dans le bottin des avatars, si on ne t'as pas oublié, parce que malheureusement, ça arrive des fois. Ensuite, tu peux aller te créer une fiche de liens, parce que se trouver des liens, c'est cool. Si ton personnage fait partie d'un camp tu peux aller recenser ton rôle, mais aussi ton habitation. Tu vas pouvoir également te renseigner sur le système de points et rejoindre, si tu veux, une des missions disponibles. Il t'es également possible de créer un scénario ou des pré-liens. Sur cette avalanche de liens assez chiants, on te propose d'aller jeter un coup d’œil dans le flood pour t'amuser avec les autres membres du forum. Pour finir, n'hésite pas à promouvoir le forum, ça peut aider et c'est fort sympathique

Voilà maintenant tu es validé, tu peux tracer ta route parmi nous on espère vraiment que tu te plairas sur le forum et si tu as la moindre question, n'hésite pas à nous envoyer un petit message