The Day Will Come When You Won't Be nom : marshall et ce lien tenu qui subsiste encore. L'indicible. L'invisible.  Libre mais liée. Faussement attachée. prénom : lexie, pour oublier alice, pour effacer un nom, une vie. Pour devenir quelqu'un d'autre. âge : les années passées trop rapidement, la jeunesse douloureuse, la presque femme. Adulte de trente ans. date et lieu de naissance : huit mai à new-york. nationalité : américaine. origines : une mère anglaise, père américain. situation civile : mariée sans vraiment l'être, tout n'est qu'une question de point de vue.  ancien métier : agent de la CIA. ancien lieu d'habitation : new-york. campement actuel : fallon, membre active du conseil.  groupe : four walls and a roof crédits : angel dust (avatar)   just survive somehow •   (001), apparence Elle semble calme, Lexie, mais dans son fort intérieur c'est sans cesse le tumulte. Elle canalise sans cesse une flopée d'émotions contradictoire. (002), certitude. elle croit fermement aux règles qu'imposent fallon, désireuse de protéger ceux qui habitent dans ce camp elle ne laisse passer aucune erreurs, aucune trahison. main de fer dans un gant de velours (003), observatrice, lexie n'est pas de celle qui se montre à outrance, elle préfère poser ses yeux et décrypter chaque geste, chaque mots. talent inné pour flairer ceux qui l'entoure. elle n'a jamais cessé de penser que son instinct était infaillible. presque. (004), combattante, si elle se cantonne souvent à l'observation elle était autrefois une femme d'action. elle l'est encore, lorsque les instants s'y prête. guerrière aguerrie, héritage d'une formation au CIA qui lui semble si loin mais dont elle n'a rien perdu. (005), déraison. elle semble si ferme, si droite lexie. pourtant il y a là la folie qu'on sent poindre sous la pulpe de ses doigts dès lors qu'on la déçoit, dès lors qu'elle aime et qu'on la brise. elle ne connaît pas de limite lorsqu'il s'agit de sa souffrance, la rancune vorace qui fait d'elle une femme sans scrupule. (006), domination, fallon elle le dirige. pas seule mais elle fait les choix, elle aussi. elle se targue de le faire au nom de l'altruisme, au nom du devoir. elle se plaît surtout à être maître, prise du contrôle pour ne plus rien laisser lui échapper. certaine qu'il n'y a pas d'autres moyens de les protéger de ce qui se trame au dehors. (007), distance. elle a eu mal, elle a sentit son coeur se brisé si souvent. Toujours à cause du même homme. elle est devenu hostile, lexie, refractaire à l'amour pur, persuadé que personne ne saura l'aimer vraiment puisque le seul qui aurait pu le faire en a été incapable. elle se laisse aller à des plaisirs fugaces, des histoires sans fondement dont on se lasse. elle oublie parfois ce myocarde qui bat. (008), regrets. ils se posent sur ses épaules, ils brûlent sous la plante de ses pieds. la colère  à guidé certains de ses actes, la douleur lui a fait faire mille choses honteuses. elles les regrettent souvent, sans jamais vouloir changer le cours du temps. contradiction singulière. (009), souvenirs il ne subsiste rien de sa vie passée sinon les mensonges qu'elle se plaît à raconter. Rien à part une alliance caché dans le décolleté et un nom aussi doux que lourd à porté pour lui rappeler qu'il fut un temps, elle croyait encore en quelque chose. en quelqu'un. même si elle n'aurait jamais dû. (010), cicatrice elle a le corps marqué, ça et là. Sous son oreille, au creux de la mâchoire qui marque l'enfance violente, une balafre sur la hanche marqué par les combats à la Cia et tant d'autres guerres qui ont laissé tant de trace, visible ou non.

âge : vingt. fuseau horaire : france dude fréquence de connexion : un peu tout les jours. où avez vous connu le forum : bazzart. avis & suggestions : . votre mot de la fin : .

alice, trois ans « Prends un bonbon si tu veux. » les yeux clairs de l'enfant reste fixés sur le bol de friandises, sans un regard pour celui qui tente de lui parler pour la troisième fois déjà. Deux heures de silence et une troisième à venir. Elle ramène ses genoux jusqu'à son menton, enserrant de ses bras les jambes proche de son corps et l'adulte le note sur son carnet. Pour une raison qui échappe à Alice, il note tout, tout le temps. Elle ne dit pas un mot mais il trouve toujours quelque chose à écrire. Peut-être qu'il dessine ? « Le temps passerait bien plus vite si tu voulais bien me dire quelque chose. » Il est gentil, l'adulte en face d'elle. Son ton est avenant et il tente toujours d'être sympathique avec elle. Lui propose de dessiner, de lire, de jouer. Mais quoiqu'il fasse, il espère toujours qu'elle finisse par parler. Elle veut pas, Alice, elle a pas envie. Y a les images dans sa tête, qui dansent sans cesse. Les photos d'une mère qu'elle n'a jamais connu. Les odeurs de whisky qui embaumait toujours leur maison. Un père flirtant avec la folie, entiché de la violence. Les coups comme s'il en pleuvait. Et Marie qui plante la lame dans le paternel. Le silence et le sang. Les bras de son aîné qui l'entoure, pour la rassurer. promis, tout ça c'est fini Alice. Puis il y a eu beaucoup d'hommes, ils parlaient fort, ils bougeaient dans tout les sens. Et une femme. Celle qui l'a emmené à l'orphelinat. « Alice ? » Elle refuse toujours de le regarder, l'homme et elle serre un peu plus encore ses jambes contre elle. Elle ne veut pas lui parler, elle ne veut pas le regarder. Là, tout de suite, elle veut voir Ace. Elle a envie qu'il lui dise une bêtise pour la faire sourire, qu'il partage son goûter avec elle. Elle a envie de voir son ami, pas d'entendre parler un vieux monsieur. Alors elle attend, Alice, elle écoute les tic tac de la grosse horloge, le regard dans le vide. Elle sent bien qu'il est déçu, le monsieur avec son calepin. Elle voulait pas qu'il soit peiné, mais parler elle le veut encore moins. « C'est fini, Alice. A jeudi prochain. » Un peu trop vite, elle se lève, sa main qui se fourre dans le bol de friandise. Elle lève un instant les yeux, juste un, pour être sûr de ne pas blesser davantage le monsieur. Mais il sourit et pour la première fois, Alice lui sourit aussi. Elle en reprend encore quelques uns, elle pourra en donner à ace

alice, sept ans elle devrait être heureuse aujourd'hui, Alice. Elle observe de loin, Arthur qui prépare sa valise pour rejoindre sa nouvelle famille. elle devrait être heureuse, mais elle ne l'est pas. Il l'a laisse tomber, lui aussi. Il s'en va et ils ne se reverront sans doute pas, elle le sait. Il y a de ces histoires qui n'aboutissent pas, de ces chemins qui divergent pour ne jamais se retrouver. Elle aimerait lui dire au revoir, juste avant qu'il parte, le serrer dans ses bras et lui dire qu'elle est heureuse sans parvenir à oser. Elle attend là, des minutes durant, qui s'égrènent bien trop lentement avant de faire un pas dans sa direction, finalement, quand il sort de sa future-ancienne chambre. Les bras maladroit qui l'enserrent un peu fort dans l'espoir désespéré de le garder un peu plus longtemps vers elle. « Ca devait arriver. », elle se le répète inlassablement lorsqu'elle le lâche enfin, qu'elle jauge la nouvelle famille qui s'éloigne d'elle, quitte les murs tristes de l'orphelinat. « Ca devait arriver, il fallait bien qu'il s'en aille. » Elle le murmure cette fois, pour se rassurer elle-même lorsqu'elle se fait bousculer par un de ces gosses sans famille qui vivent ici. Elle se renfrogne, si Arthur était encore là il lui aurait dit de s'excuser au lieu de rire. Il ne l'aurait pas laissé faire. « Mais il est partit, ça devait arriver. » Il va avoir de l'amour, Ace. Une famille, des gens qui prennent soin de lui. Des gens qui sauront l'aimer. et toi, quand est-ce que t'y auras le droit?

alice andrews, dix-neuf ans Le reflet dans le miroir lui renvoi l'image d'une femme aux cheveux bruns. Infime rictus sur les lèvres. Elle les a teint il y a quelques années, désire étrange de ressembler à sa mère adoptive, comme si elle y trouvait là une preuve de son appartenance au clan qui l'avait accueillie. Se sentir membre à part entière de la famille Andrews. C'était la surprise qui c'était lu sur ses traits lorsque celle qui se voulait mère avait versé une larme lorsqu'Alice avait décidé de rejoindre la CIA, de s'en aller. Elle c'était sentie entière pour la première fois, emporté par la certitude qu'elle ne serait pas oublié ici, qu'elle revienne un jour ou non. Elle avait une photo d'eux sous le matelas de sa chambre, souvenir doux dans les nuits triste. Elle l'avait eu, sa famille, son bonheur. Ca avait été étrangement long, tout en étant bien trop éphémère. « Faut que tu te bouges si tu veux pas être en retard Alice. » Elle jette un regard par dessus son épaule, ennuyée d'être dérangé dans la contemplation de son passé. Ace est pas là? » C'est lui qui vient la chercher d'habitude. Retrouvaille inattendue dans les locaux de la CIA. Elle avait reprit de vieux automatisme, ces gestes qu'on ne perd pas qui se mêlaient aux sentiments des presque-adulte un peu trop entichée, facilement amoureuse, irrémédiablement accroc. Mais au regard de son acolyte dans l'encadrement de la porte, elle retrouvait sa moue irritée. Évidemment, Ace était sans doute encore accroché aux lèvres de sa nouvelle copine. C'est dans un soupire exaspéré qu'elle se lève, se suspendant presque au bras de son camarade. et les vieux automatisme, encore. Elle cherche du regard le visage familier imprégné dans son esprit comme une marque indélébile. Dans son cœur au fer rouge. Le myocarde qui se serre un peu en le voyant intéressée par une jolie fille et dans un mouvement puéril, elle pose sa tête sur l'épaule de son ami lorsque Ace croise son regard. C'est la jalousie, perfide et sournoise, qui s'insuffle dans ses veines, symptôme d'un virus qui ne connaît aucun antidote. l'amour.

nobody, vingt-neuf ans c'est long, cinq ans. C'est beau Ace, tu sais. C'était faux, surtout. Y avait rien de vrai dans tout ça. Y avais que moi, sans doute. Moi jt'aimais un peu. Un peu trop. J'me suis laissée prendre au jeu stupide de l'amour qu'on devait se donner, j'ai jouer mon rôle avec bien trop de facilité. Réponse évidente à des années d'amour muet. Mais personne m'avait dit que j'y perdrais une si grande part de moi. Y a mon cœur piétiné devant ta trahison, ton indifférence, tout ces choix que tu as fait. Trou béant dans la poitrine. Tu ne m'as laissé que la colère et la rancune. Mauvaises amies pour ton propre bien.

L’œil brillant, elle observe chaque détail de la scène, les bras croisés contre sa poitrine. Puis le silence. C'était la dernière séance, l'apothéose de sa vengeance sans scrupule. Ace est détruit, l'intérieur démoli par les plus aguerris des hommes. il n'est plus personne, plus l'homme qu'il était autrefois du moins. Il n'est plus celui qui l'a détruite puisqu'il ne saura jamais qui il est vraiment. Il y a un sourire qui éclot, aux coins de ses lèvres, oscillant entre un profond contentement et une réelle mélancolie. Tout est fini. « Est-ce que tout est prêt? » La voix se fait murmure, presque craintif lors d'une infime seconde et elle ne se détend que lorsque le hochement de tête de l'armoire à glace à ses côtés se fait convainquant. « Je le saurais, s'il lui arrive quelque chose. » Elle ne laisse place à aucune réponse, quittant déjà la pièce, le cœur aussi lourd qu'allégé, étouffé dans un paradoxe dérangeant. Elle a gagné. Elle a perdu aussi. Réussi sa vengeance mais laisser derrière elle le seule homme qui savait qui elle était. Aujourd'hui, en quittant la prison, il ne lui restait plus que ce bonheur d'avoir tout préparé elle-même afin d'être sûre des soins qu'il obtiendrait mais dont elle ne verrait rien. Cette ultime séance était leur dernière rencontre. C'est la dernière fois qu'elle le verra, cet homme qu'elle avait tant aimé. Tant haït aussi.

lexie marshall, trente ans ses doigts tapent sur la table du conseil, elle observe en silence les quatre autres membres du conseils, ils s'affrontent à nouveau au sujet d'un nouvel arrivant. Incapable de le rejeter sans raison, craintif de laisser enter dans l'enceinte de leur camp les horreurs de l'extérieur. Elle arque un sourcil exaspérée. « Une mise à l'épreuve suffirait. » Haussement d'épaule un brin hautain, elle coupe court au débat puéril. Elle propose calmement de surveiller davantage le nouvel arrivant, expose une évidence qui ne lui paraît pas discutable. Ils savent bien souvent se mettre d'accord, pour la protection de Fallon, a quoi ne seraient-ils pas prêt, de toute façon ? Rien. Pas Lexie, du moins. Elle a mit bien trop d'énergie  dans la construction de cet endroit, trop de son temps, trop de ses colères pour voir tout ce qu'elle a si durement bâtit s'effondrer à cause d'un groupuscule de solitaire incapable de bien se  tenir. Encore moins à cause de cette stupide épidémie. « je lui donne deux jours avant d'être mit dehors. » Elle esquisse un sourire presque amusée en prenant officiellement  partie après avoir écouté leur débat. Et s'ils pouvaient encore en douter, Lexie, elle, savait très bien que son instinct ne la trompait jamais. il n'y avait que son cœur qui la trahissait et elle avait cessé de l'écouter.

petit mot de moa à toa : enfin du coup, c'est plutôt de moi à vous mais gfuizerfgqer hâte de lire vos rps mes gueules, sans déconner, faites-moi feelser OU JE NE REPONDS PLUS DE RIEN

Te voilà validé et en prime t'as des gifs rigolos, que demander de plus ? Si tu en veux plus des gifs va ici, c'est drôle (attention aux spoilers par contre). Bref sinon à part ça quoi faire quand on est validés ? Tout est très simple mon petit Tout d'abord, je te conseille d'aller voir dans le bottin des avatars, si on ne t'as pas oublié, parce que malheureusement, ça arrive des fois. Ensuite, tu peux aller te créer une fiche de liens, parce que se trouver des liens, c'est cool. Si ton personnage fait partie d'un camp tu peux aller recenser ton rôle, mais aussi ton habitation. Tu vas pouvoir également te renseigner sur le système de points et rejoindre, si tu veux, une des missions disponibles. Il t'es également possible de créer un scénario ou des pré-liens. Sur cette avalanche de liens assez chiants, on te propose d'aller jeter un coup d’œil dans le flood pour t'amuser avec les autres membres du forum. Pour finir, n'hésite pas à promouvoir le forum, ça peut aider et c'est fort sympathique

Voilà maintenant tu es validé, tu peux tracer ta route parmi nous on espère vraiment que tu te plairas sur le forum et si tu as la moindre question, n'hésite pas à nous envoyer un petit message