The Day Will Come When You Won't Be nom : Rhodes, négociable. prénom : Jack, négociable. âge : trente-cinq ans. date et lieu de naissance : 13/04/1981, à Carson (Nevada). nationalité : américaine. origines : au choix. situation civile : divorcée.  ancien métier : taulard, ancien flic. ancien lieu d'habitation : Carson, Nevada. campement actuel : Fernley, Nevada.. groupe : the next world. crédits : anomie + tumblr.   just survive somehow • (001), Dès son plus jeune âge, Jack a été élevé dans le patriotisme le plus extrême. Son père était un policier qui ne lui a jamais laissé le moindre choix de carrière ; cela n'a jamais dérangé le fils Rhodes, heureux d'être la cible principale des espoirs de ses parents. (002), A l'âge de vingt-trois ans, il rencontra celle qui devint sa femme. Elle était belle, intéressante ; ils se marièrent environ trois mois après leur première rencontre et, sans surprise, elle lui donna un enfant, une petite fille, peu de temps après leur mariage. (003), Jack pensait être touché par la grâce de Dieu et ce, même s'il n'était pas croyant contrairement à son épouse. Il tomba rapidement de son piédestal lorsqu'il fut touché au torse par une balle de revolver lors d'une intervention musclée. Il fut mis à pieds pendant quelques mois, le temps de se soigner correctement. (004), La proximité constante avec sa femme mit en péril leur relation. Il était constamment chez eux, et rouspétait lorsque quelque chose n'allait pas. Il pensait avoir l'excuse de la blessure mais rapidement son épouse lui fit comprendre qu'il était hors de question de l'avoir dans cet état d'esprit constamment. Quelque chose se brisa entre eux à ce moment-là, Jack s'étant rendu compte que sa compagne ne parvenait pas à accepter ses sautes d'humeur qui étaient principalement liées à ses problèmes physiques. (005), La relation qu'il entretenait avec sa gamine était fusionnelle. Il n'hésitait pas à se vernir les ongles de mains et pieds si ça lui faisait plaisir – entre eux, il y avait une réelle alchimie à laquelle la mère de famille n'avait pas accès et qui ne faisait qu'amplifier les rixes entre son couple. (006), En 2013, sa fille fut enlevée entre le chemin de l'école et la maison. Il y eut un suspect mais il ne fut jamais appréhendé ; on supposa que la gamine était morte. Aveuglé par une haine sans nom, Jack décida de faire justice lui-même et tua le suspect, vers qui toutes les preuves se tournaient, avec son arme de service. (007), Alors qu'il était en prison, le divorce entre lui et sa femme fut proclamé. Elle ne vint jamais le voir, ne lui envoya pas la moindre lettre. Son époque en taule fut compliquée mais lorsque l'épidémie arriva, et que les portes furent ouvertes, il n'hésita pas à prendre le large. (008), Il vola une voiture et se débrouilla par ses propres moyens jusqu'à un jour de Mai où il tomba sur le camp fortifié de Fallon. Mais son air antipathique ne fut guère attrayant pour membres du Conseil qui lui refusèrent l'accès à la ville. Quelques kilomètres plus loin se trouvait le camp de Fernley qui lui ouvrit les bras. Il obtint le poste de nettoyeur, lui dont le profil convenait si bien au maniement des armes. (009), Il parle très peu de lui, de son passé. A la base, ce n'est pas un gars extrêmement prolixe mais il a toujours su comment faire pour tenir les ragots hors de son sillage.  A Fernley, il a réussi à se faire apprécier pour ce qu'il était, et il ne tient pas à dégrader tout ça en proclamant les raisons qui l'ont poussé en prison. (010), Le fantôme de l'homme qu'il a tué le hante toujours. Il ne sait plus s'il a réellement tué le coupable de l'enlèvement (et certainement le meurtre) de sa fille, ou s'il a juste été aveuglé par la haine. Une haine si forte qu'il n'a pas été capable de contrôler. Il vit entre les deux rives, s'interrogeant sur l’état de sa vie ; est-il quelqu'un de bien ?

Jack a sauvé la vie de Polly au moment où elle s'y attendait le moins, et il l'a ramenée à Fernley alors qu'elle était dans les vapes. Même si elle parle sans arrêt de sa mère qu'elle doit absolument retrouver, elle n'en fait rien – et Jack est certain qu'elle attend quelque chose de sa part, une demande chevaleresque où il l'accompagnerait affronter les plus grands ouragans pour retrouver sa daronne. A croire qu'elle a vu la Vierge, celle-là. Qui plus est, elle ne le lâche pas. Il est incapable de trouver quelques secondes de tranquillité ; elle est toujours là, à guetter et à lui sauter dessus. Il lui dit souvent d'aller de faire foutre, qu'elle est chiante, qu'il l'aurait laissé crever s'il avait su qu'elle était aussi collante – il n'en pense évidemment rien. Il apprécie sa compagnie même s'il sait pertinemment qu'elle a le béguin pour lui. Et rien à faire, il a beau la congédier, elle revient toujours à la charge. Il l'aime bien cette gosse, même si elle lui donne mal à la tête.
Polly adule Jack, elle le trouve beau et fort, elle sait qu'il la protégera même s'il lui dit le contraire. Et elle veut pas l'laisser tout seul. Il se mure le plus souvent derrière un silence contrarié mais il l'écoute tout le temps lorsqu'elle parle. Il lui accorde l'attention qu'elle demande. C'est beau, putain. 


Jack, c'est celui après qui Polly court. Oliver n'est pas aveugle et il constate (avec une pointe d'inquiétude) l'attitude de la jeune fille après un homme qui a plus d'une dizaine années de plus qu'elle. Alors Oliver essaie parfois de faire barrage, de raisonner la gamine en lui disant qu'elle ferait mieux d'apprendre à tirer au lieu d'embrasser les chaussures d'un mec qu'elle ne connaît qu'à peine. Ce genre de conversation se termine régulièrement sur une dispute, sous les yeux blasés de Jack qui n'en croit pas ses oreilles. Au fond, Oliver et Jack se ressemblent sur bien des points mais ils sont malheureusement trop fiers pour l'admettre. Si Polly veut absolument traîner avec Jack, selon ce dernier, il ne l'empêchera pas (bien qu'il aimerait bien parfois avoir une pause syndicale – ce qu'il a évité de mentionner) et il l'a clairement fait comprendre à Oliver. Mais un jour, ouais, peut-être qu'un jour ils s'efforceront de boire une bière ensemble et qui sait ? peut-être qu'ils parviendront à se comprendre. (+ voir le scénario)

Hello, hello    
Merci d'avoir lu mon scénario et d'en être arrivé jusque là ; maintenant quelques explications pour bien cerner Jack-le-bégé-qui-parle-pas. Restez encore avec moi, ça ne prendra que quelques instants, huhu.  

pseudo, avatar, info basiques ; le pseudo est négociable dans la mesure où je n'ai pas évoqué le nom de Jack dans ma fiche (je crois, meh) - je dis juste que c'est le mec qui l'a sauvée, donc ça vous laisse de la marge. A savoir que j'aime bien la simplicité au niveau des noms, alors... mais à vous de voir, je n'impose rien l'avatar est difficilement négociable puisque j'aimerais bien un ours imposant qui a pas l'air bavard. APRES, je ne suis pas non plus Madame-toutes-les-cartes en mains alors si vous avez une idée qui collerait à cette description, n'hésitez pas à proposer, je ne suis pas spécialement chiante.   si une des info basiques ne vous convient pas (genre, mettons la date de naissance / lieu de naissance), vous pouvez la reconsidérer.  

histoire ; non-négociable puisque je pense que cette histoire l'a mené là où il en est aujourd'hui ; vous pouvez mettre son ex-femme en scénario si vous le souhaitez, ou bien faire comme bon vous semble au niveau du relationnel (du coup, c'est pas la peine de me mp pour me demander de confirmer genre la date où sa gosse est née ou lorsqu'elle a été enlevée xD vous pouvez choisir, je vous fais pleinement confiance !) anyway, j'aimerais vraiment vous voir ajouter votre touche personnelle au personnage, ce serait vraiment vraiment un plaisir pour moi, vous pouvez pas imaginer à quel point. Je vous donne juste un squelette de perso, alors n'hésitez paaaaas   et ça me fera vous aimer plus fort  

lien ; pour le moment, j'imagine un ship vraiment end-game, ça veut dire que pour le moment, Jack peut se taper absolument tout le monde, no problem baby   puisque c'est Polly qui entretient un sacré crush à son égard ; faut la comprendre, elle a vingt-deux ans, elle a été sauvée par un mec trop beau, son petit coeur fait kaboum.   en ce qui concerne Jack, il pense vraiment qu'elle est chiante à toujours lui coller au cul et à essayer de lui causer, mais il l'aime bien quand même, il tient à elle parce qu'il l'a sauvée et il se sent qu'il a le devoir de le protéger. Le problème, c'est qu'elle agit vraiment comme une gosse. Il pourra éventuellement ressentir des sentiments à son égard lorsqu'elle finira par agir comme une adulte et prendre sa vie en mains en comprenant que tout ça, ce n'est pas une grosse blague mais bien un tout nouveau monde dans lequel il faut vivre.   bref, ce genre de trucs prend un certain temps à assimiler quand la personne en question est dans le déni.   mais évidemment, ce n'est pas obligé, on peut totalement continuer sur l'idée du crush qui s'entretient pendant des lustres et qui ne trouve jamais la moindre réponse - c'est pas mal, ça fait un peu Snape / Lily.   on verra donc ça au fur et à mesure des rps, no worries

demandes externes ; j'aimerais bien quelqu'un qui vienne flooder de temps en temps (ou tout le temps, soyons fous) + qui rp avec d'autres membres que moa. A partir du moment où vous avez ce scénario, vous devez le faire vivre (et il ne vivra malheureusement pas qu'avec Polly sinon le suicide sera proche   ), c'est pour cela que je tiens absolument à ce que vous ajoutiez des petites anecdotes qui viennent de vous, des idées qui vous appartiennent, etc.   aussi, j'utilise beaucoup de smileys alors ne prenez pas peur face à moi hein   de pluuuuuus, malheureusement, je ne suis jamais (ou très rarement) dispo le weekend (même si je me connecte de temps en temps hein, j'suis pas non plus en mode abstinence totale) (juste pour prévenir)   en ce qui concerne les réponses rps, le minimum syndical me va très bien - je fais environ 1000mots par rp, et vous pouvez en faire plus ou moins, tant que ça donne des feels je suis contente peu importe la longueur.  

Merciiii encore d'avoir lu tout mon blabla ! j'espère vous voir rapidement sur le forum           allez viens, viens, on est bien