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 (josh) ▴ we're breaking all the rules.

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Joshua Burrows
Joshua Burrows
Admin ▴ Keys to the Kingdom.
▴ avatar : stephen amell.
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MessageSujet: (josh) ▴ we're breaking all the rules.   (josh) ▴ we're breaking all the rules. EmptyJeu 3 Nov - 0:45

joshua soren burrows
une citation ici, mettre une citation, ce que vous voulez.

The Day Will Come When You Won't Be
nom : burrows, un nom qui a su faire parler de lui, vu l'empire financier possédé par ses parents et peut-être aussi à cause de lui et de ce qui a pu lui arriver. prénom : joshua, même si souvent, c'est josh et son deuxième prénom c'est soren, mais il ne lui sert pas à grand chose. âge : trente-trois ans, même si avant cette apocalypse, on lui en aurait bien donné seize vu son niveau de maturité. date et lieu de naissance : il est né le 13 octobre 1983, dans la ville connue pour être celle de tous les péchés, la célèbre las vegas, nevada. nationalité : américain, bon patriote et tout ce qui va avec, bien entendu. origines : américaines, par ses deux parents, il n'a pas franchement d'origines plus exotiques que ça. situation civile : célibataire, il avait bien trouvé une femme avec qui il pensait pouvoir construire sa vie, mais ils n'avaient de toute évidence pas la même vision du monde et maintenant, il n'a plus le temps de se concentrer là-dessus.  ancien métier : ancien militaire, revenu de la guerre complètement traumatisé, il n'a rien fait après ça ; se contentant d'être un riche milliardaire vivant sur l'argent de ses parents. ancien lieu d'habitation : las vegas, nevada,  sa ville d'origine et là où il pouvait claquer des fortunes dans les casinos, sans que ça pose problème. campement actuel : aucun, il avait un petit camp avant, mais depuis que ce dernier est tombé, il préfère rester seul. groupe : blood in the streets. crédits : scarlett glasses (avatar), tumblr (gifs).  

just survive somehow •

(001), joshua, il est né dans une famille extrêmement riche, depuis des générations, les burrows possédaient plusieurs casinos réputés à Vegas, il était l'héritier de tout ça, heureusement pour cet empire, il est tombé bien avant que joshua fasse n'importe quoi de son héritage. (002), malgré tout ce qu'on a pu pensé de lui avant que le monde ne s’effondre, joshua était un mec sérieux et ambitieux à l'origine, mais brisé par les horreurs de la guerre, il est devenu ce qu'on pourrait qualifier de roi des cons ; mécanisme de défense, qu'il disait le psy, quand josh se donnait encore la peine d'aller le voir. (003), il a toujours été très bon au tir à l'arc, il en faisait quand il était plus jeune ; aujourd'hui c'est une arme qui lui semble plus efficace qu'un flingue, car plus discrète, cela dit, il sait très bien se servir d'une arme à feu également. (004), il a toujours été très sportif, c'est forcément un avantage non négligeable aujourd'hui, alors que cette vie, elle nécessite d'être physiquement en forme. (005), il porte toujours ses plaques de l'armées, comme quelque chose lui rappelant qu'à une époque, il avait été un type bien voulant faire une différence, mais que ça l'a détruit. (006), au milieu de cette apocalypse, il avait réussi à se trouver un coin tranquille, un camp dans lequel il était bien, depuis que tout ça a été détruit, il a du mal à se montrer ne serait-ce qu'aimable avec les personnes qu'il croise. (007), il est allergique aux poils de chat, heureusement avec l'apocalypse, ce n'est plus vraiment un problème pour lui, même avant puisqu'il se contentait de rester loin de ces animaux. (008), il a toujours eu tendance à appuyer trop fort sur la pédale d'accélération, ce qui lui a valu de nombreuses amandes ou arrestations pour conduite en état d'ivresse, heureusement, il n'a jamais eu de grave accident et aujourd'hui, personne ne l'emmerde s'il conduit trop vite. (009), il s'est adapté plutôt vite à la situation au début de tout ça et pourtant vu le comportement qu'il avait avant que ça commence, on aurait pu penser qu'il aurait bien du mal à se contenter du minimum pour survivre, vu qu'il vivait dans l'excès, mais non, il a plutôt bien géré la situation. (010), il a de nombreuses cicatrices sur le corps, la plupart vienne d'avant l'apocalypse, de ses années en tant que militaires, vestige d'un passé qu'il aurait voulu oublier, mais dont il est actuellement plus proche que jamais.


(indépendants) • depuis combien de temps êtes vous seul/en petit groupe ? Comment le vivez-vous ?

Il n'en sait trop rien, c'est si facile de perdre la notion du temps ces derniers temps, qu'il est bien incapable de mesurer depuis combien de temps est-ce qu'il erre complètement seul. Au départ, il était avec son ex-petite amie et ensemble, ils ont rencontré du monde avec qui ils avaient décidé de rester. Ils étaient un petit groupe unis et qui marchait plutôt bien, avant que les choses ne se compliquent, bien entendu. Y a eu des rôdeurs à un moment, trop de rôdeurs pour que ce soit gérable, alors le camp, il est tombé. Ils se souvient d'avoir éloigné quelques rôdeurs et quand il est revenu, y avait plus personne. Depuis, il est seul et il reste seul, il a quelques contacts, de temps en temps avec d'autres survivants, mais c'est assez limité, parce qu'il a l'impression qu'il fonctionne mieux seul, ou qu'au moins comme ça il évite de perdre encore et toujours du monde à qui il tient. Encore un mécanisme de défense, qu'il dirait, ce fichu psy qu'il était censé consulter avant que cette merde ne commence.


sweet poison || anaïs
ft. stephen amell || personnage inventé.

âge : 23 ans, bientôt 24 quand même :no:. fuseau horaire : celui de la france. fréquence de connexion : jamais. où avez vous connu le forum : dans les culottes du gros chou, je fouille souvent dedans. avis & suggestions : organiser des barbecues entre membres. votre mot de la fin : trop de muscles chez oliver queen, jpp  :héé: .
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Joshua Burrows
Joshua Burrows
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MessageSujet: Re: (josh) ▴ we're breaking all the rules.   (josh) ▴ we're breaking all the rules. EmptyJeu 3 Nov - 0:46

we are the walking dead
You've spent a life time stuck in silence.

S’engager dans l’armée, Joshua avait cru que ce serait un bon moyen de prendre sa vie en main, de faire quelque chose de bien de son existence là où tout dans sa vie, sans sa famille, laissait sous-entendre que tout ce qu’il aurait à faire, ce serait de reprendre la direction des casinos de son père, comme il l’avait avant lui. Ça avait permis à sa famille de s’enrichir depuis plusieurs générations, à tel points qu’ils faisaient sans doute partie des fortunes les plus importantes du pays à présent. Mais Joshua, il avait toujours voulu faire plus que ça, alors, il avait fini par s’engager dans l’armée, lui le gamin de riche qui semblait pouvoir tout avoir en un claquement doigt. Il n’avait jamais été vraiment comme ça. Plutôt appliqué, déterminé, sérieux. Il avait toujours ramené de bons bulletins de l’école et avait eu une adolescente relativement calme. Bien-sûr, il avait fait des conneries, il avait parfois été à ses soirées trop arrosées ou il avait fait le mur pour retrouver sa petite amie alors que ses parents lui avait explicitement dit de ne pas quitter la maison. Il savait bien qu’il avait fait quelques conneries quand il avait été plus jeune mais rien qui n’ait jamais eu des conséquences désastreuses dans sa vie. Après le lycée, il était entré dans l’armée, il avait été un bon soldat, un type bien rangé, qui obéissait aux ordres, respectait la hiérarchie. Il avait été un bon soldat ouais et tout ça pourquoi ? Pour qu’on le laisse pourrir dans un trou pendant des mois et des mois, si bien qu’il avait eu l’impression qu’il n’en ressortirait jamais. Prisonnier aux mains de l’ennemi, il aurait préférait qu’on le tue directement plutôt que de le garder en vie pendant plusieurs trop long mois avant qu’enfin, quelqu’un vienne le retrouver. Il avait été torturé, malmené, il avait vu plusieurs de ses camarades se faire tuer et maintenant il allait devoir vivre avec ça. Il avait été un type comme un autre, il avait même cru être quelqu’un de bien tout ça pour de la merde au final. Y avait bien eu un truc qui l’avait marqué autrement qu’en des cauchemars qui le hanterait pour le restant de sa vie. Une fille, bien entendu ; y avait toujours une fille. Blonde, de beaux yeux bleus,  une fille qui n’avait rien à faire dans un territoire aussi hostile. Elle aussi elle avait été prisonnière. Les risques du métier sans doute. Voilà que le métier de reporter devenait tout aussi dangereux que de s’engager dans l’armée. A un moment, elle lui avait fait tout un speech sur l’importance de son métier, que les gens avaient besoin de connaitre la vérité et blablabla. Elle l’avait payé cher sa vérité. Il avait juré de la protéger, de la sortir de là et il avait tout fait pour y parvenir. Elle était encore en vie. Il fallait qu’elle soit encore en vie. Y avait eu des coups de feu du bruit, puis plus rien. Il ne savait plus ce qui avait bien pu se passer pendant les dernières minutes avant qu’il ne perde connaissances, mais maintenant, il était réveillé et la première pensée qu’il avait eue, elle était pour elle, la fameuse reporter. Il était en vie, est-ce qu’elle l’était aussi ?

« Tu vas vraiment y retrouver ? » La jeune femme laissa échapper un soupire avant de lui arracher des mains la lettre qu’il venait de lire. « T’as pas à fouiller dans mon courrier. » Il laissa échapper un ricanement, teinté d’une ironie qu’il ne pouvait pas dissimulée. C’était elle qui prenait des décisions dans son dos et c’était lui le fautif, bien évidemment. Elle ne pouvait pas repartir prendre des risques dans Dieu seul savait quel pays dangereux de ce fichu globe. Elle avait manqué d’y passer la fois dernière, ils avaient manqué d’y passer. Elle était complètement folle ou suicidaire, il ne savait pas trop, mais il avait besoin d’elle. La retrouver après tout ça, ça avait été sont salut, il avait commencé à foutre sa vie en l’air quand il était rentré au pays, mais avec elle, il avait trouvé une bonne raison de tenir le coup, envers et contre tout ce qui avait pu lui arriver. Il ne pouvait décemment pas la laisser repartir là-bas. Elle connaissait les risques aussi bien que lui, elle devrait savoir. « La lettre trainait sur la table. Notre table. » Alors qu’est-ce qu’il avait fait de mal hein ? A parti attraper une lettre qu’il avait trouvé là et la lire parce qu’elle avait trainé dans le coin. Si elle voulait pousser le vice jusqu’à lui cacher des choses, autant qu’elle la planque sa lettre, ce serait encore mieux. « J’allais t’en parler. » Il leva les yeux au ciel, génial, elle allait lui en parler. C’était gentil de sa part de le prévenir en avance aller quelque part ou n’importe quoi pourrait arriver. Peut-être que cette fois elle se retrouverait dans un bombardement, après tout, qu’est-ce qu’y avait de grave là-dedans ? « Génial, je me sens vraiment rassuré. » Elle soupira de nouveau, peut-être qu’il se comportait comme un gamin qui ne voulait rien entendre, rien comprendre. Mais qu’est-ce qu’y avait à comprendre dans tout ça ? A part qu’elle était cinglée ? Il avait déjà perdu trop de monde, il ne pouvait pas accepter de la voir risquer sa vie encore une fois et tout ça pourquoi ? Pour que les gens puissent connaitre la vérité. Il en avait rien à battre, de la vérité et des gens. Ce qui comptait, c’était elle et bordel, il voulait qu’elle soit saine et sauve. « C’est mon métier, c’est ce que j’ai toujours voulu faire, j’vais pas m’arrêter maintenant. » C’était sûr qu’après avoir été retenue en otage par des terroristes, y avait aucune bonne raison d’arrêter. « Et si les choses se passent mal encore ? » Et y avait des chances hein, après tout, son métier, évidemment, il l’envoyait pas photographier des eaux claires des Bahamas et interroger les vacanciers, il serait déjà beaucoup moins inquiet si tel était le cas. « Y a pas de raison pour que ça se passe mal. » Il commençait à perdre son calme, mais en même temps, elle n’y mettait pas du sien. « Rien, n’avait prévu que ça se passerait mal l’autre fois Mayra ! » Evidemment que non, sinon, il serait lui-même parti aux Bahamas profiter des eaux clairs pour prendre quelques vacances, parce que son patriotisme, son devoir pour les autres, le bien de son pays et tout le reste, il avait des limites. « T’es un soldat tu devrais pas être effrayé comme ça. » C’était pas possible, elle avait eu un lavage de cerveau ou un truc du genre, parce qu’aux dernières nouvelles, ils avaient connu la même chose. « Tu devrais être effrayée. » C’était logique quand même, après ce qu’elle avait vécu, ce qu’ils avaient vécu. « Peut-être que c’est juste toi qui est devenu lâche. » Béh oui, évidemment, encore une fois c’était lui le problème. « J’peux pas laisser tomber, je suis désolée. » Elle laissa échapper un soupire avant de tourner les talons pour passer la porte, bien, comme ça elle avait le dernier mot et lui il n’avait qu’à fermer sa gueule. Qu’elle parte, peut-être que c’était mieux, parce que de toute évidence, tous les deux, ils ne se comprenaient pas.

« T’es trop con. » Il ricana avant d’attraper  son verre et d’en avaler une nouvelle gorgée. Il ne savait plus à combien il en était, mais ce n’était pas bien grave, il ne comptait jamais, à quoi bon ? Il n’avait pas pensé que Mayra viendrait l’interrompre en pleine soirée. Il avait cru qu’elle avait tout simplement oublié son existence, le jour où elle avait décidé d’aller risquer sa vie pour quelques news et un bel article à publier dans le journal. Mais non, miracle, elle se souvenait qu’elle avait un petit ami, un fiancé. Qu’elle avait eu. Parce que c’était fini depuis le moment où elle avait passé cette maudite porte sans lui laisser aucun choix. Elle pouvait partir faire ce qu’elle voulait en s’en fichant royalement de son avis, mais lui, il fallait juste qu’il attende bien sagement qu’elle revienne, en un seul morceau de préférence. Très peu pour lui tout ça. « Peut-être bien, mais en quoi ça peut te déranger ? » Elle avait tellement peu fait attention à lui cinq mois plus tôt quand elle s’était barrée, que c’était à se demander pourquoi elle lui prêtait attention aujourd’hui. Est-ce qu’il était soudainement devenu plus important que sa sublime carrière ? Ou juste moins lâche que quelques mois plus tôt ? « J’croyais ton job c’était plus important que tout le reste. » Elle leva les yeux au ciel, plus exaspérée que vexée. Parce qu’il était exaspérant dans le fond, il le savait. Avec Mayra partie, il avait commencé à déconner, il n’avait plus rien eu à quoi s’accrocher, à part la crainte de la perdre, si bien que ça avait été plus simple, de faire en sorte de foirer cette relation, au moins, elle pourrait partir autant qu’elle le voudrait à l’avenir, sans avoir un emmerdeur dans les pattes qui s’inquiétait pour elle. « C’est ce que tu t’es dit pour te rassurer pendant que tu t’envoyais en l’air avec la moitié des nanas de Las Vegas ? » Peut-être bien ouais. Après tout, qu’est-ce qu’il pouvait bien en avoir à faire de ce qu’elle ressentait, alors même qu’elle avait bien ignoré ce que lui il ressentait, quelque chose comme cinq mois plus tôt, avant de se barrer comme une voleuse. « Pas besoin de me rassurer, c’était la vérité, hein ? » Elle était partie, sans même l’écouter, sans même lui laisser ne serait-ce qu’une chance de lui exposer son point de vu en détail. Elle avait choisi son job avant tout le reste. « Okay. » Elle hocha la tête avant de retirer la bague de fiançailles qu’elle avait au doigt pour la poser sur la table devant elle. « Profite bien de ta superbe vie Josh, moi, je vais aller faire la mienne ailleurs. » Très bien, qu’elle fasse donc ça, il n’allait pas la retenir, à quoi bon ? Elle était si douée pour se barrer sans se retourner, que ce serait perdre du temps d’essayer. Peut-être qu’il l’offrait à quelqu’un d’autre cette bague et qu’il irait épouser la fille en question dans une chapelle pourri de Vegas, c’était ça après tout, profiter de la vie non ?

Il était revenu et y avait plus rien. Il avait été obligé de se barrer, parce qu’y avait eu trop de rôdeurs derrière lui et qu’il avait pensé que comme ça, il les éloignerait du camp. Le monde, il s’était barré en couilles. Evidemment, Mayra, elle avait eu une longueur d’avance sur tout ce délire, parce qu’elle avait enquêté, elle faisait ça si bien et elle s’était pointée chez lui, complètement paniquée un beau jour. Au début, il ne l’avait pas crue quand elle disait que les morts se réveillaient, mais il avait fini par le voir, alors ils s’étaient barrés, ils avaient fait comme tout le monde. Ils avaient fui, pendant des mois et des mois. Juste tous les deux, puis avec deux trois personnes qu’ils avaient croisées. Y en avaient qui étaient morts dans le lot, ils les avaient vu mourir. Ils avaient finalement décidé, avec un petit groupe de monter un camp, de se protéger et de survivre ensemble et ça se passait bien. Pendant combien de temps ? Il n’en savait rien. Il ne savait même pas depuis combien de temps ce bordel avait commencé, il ne savait pas ma date non plus, il était paumé. Mais leur petit camp, il avait bien fonctionné. Ils s’étaient entraidés, ils avaient survécus et tout ça, ça avait presque semblé rimer à quelque chose. Il avait eu Mayra, ça aurait donné du sens à n’importe quoi ça. Mais évidemment, maintenant, il avait tout perdu. Il l’avait perdue elle aussi. Il avait fouillé dans les corps qui restaient au campement, il ne l’avait pas trouvée, mais il ne savait pas où elle était, il ne savait pas si elle était en vie. Il ne savait rien. Il cherchait, il ne lâchait rien. Il en était réduit à observer attentivement tous les rôdeurs qu’il tuait, pour s’assurer que ce n’était pas elle. Elle avait toujours été pour lui, ce genre d’espoir au milieu des ténèbres. Dès qu’il l’avait perdue la fois dernière, il s’était laissée couler, il avait laissé sa vie devenir ce gros n’importe quoi sans intérêt.  Fils de riche, arrogant et vivant dans la luxure, c’était ce qu’il était devenu sans elle, alors qu’avant, il avait été un homme bien. Maintenant il était juste perdu, il continuait de se battre, mais ça semblait plus compliqué, beaucoup plus vain. Le monde ne ressemblait plus à rien et même pas parce qu’y avait des morts vivants partout autour de lui, mais juste, parce qu’y avait plus Mayra à ses côtés.
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